#156 – Montpelliérien #156 – Je ne suis pas mort noyé dans le Rhône, ni dans la Saône

La cathédrale était une basilique. Celle qui surplombe la ville et à laquelle je pensais me rendre en montant à la Croix-Rousse. Que je me sens nul d’avoir confondu. C’est un peu comme si l’on confondait les martinets et les hirondelles. Enfin, je survivrai. J’ai décidé que je ne vous dirai pas son nom, à la basilique, car elle en a un. Si vous voulez savoir comment s’appelle cette basilique, vous n’avez qu’à monter là-haut vous-même. Je ne vois pas pourquoi j’aurais fait tous ces efforts pour connaître son nom et vous laisser en profiter sans que vous ne versiez la moindre goutte de sueur. Comment ça je deviens Macroniste ? Oui, vous avez peut-être raison. J’ai dû trop m’entendre dire qu’il fallait que je travaille si je voulais continuer à pouvoir vivre. Bon allez : il s’agit de Notre-Dame de Fourvière. Voilà, contents·es ? Tout ce que vous allez pouvoir faire avec cette information, pfoulala ! Il y en a qui paieraient cher pour être dans le secret, mais ces gens-là ne lisent pas le blog, tant pis pour eux.

Que vous dire d’autre ? Pas grand chose. À ma grande déception, je n’ai pas à nouveau rencontré de chienne nommée Gaïa. Ça m’aurait donné une raison de me moquer, mais je vais devoir m’en garder pour cette fois-ci. Je ne désespère pas que cela se produise avant la fin de l’année ceci dit.

Bon, écoutez, on va dire que c’est bon pour ce soir. J’ai beaucoup marché, plus d’une douzaine d’heures entre hier et aujourd’hui et je ne suis pas inspiré. Vous savez que je respire toujours, que je n’ai pas été transformé en andouillette par la mafia lyonnaise, ça devrait vous suffire. Bonne nuit.